CULTURE SANG & OR

Le RC Lens, c’est vous !

Un peu hors-série. Un peu hors terrain. Mais en aucun cas hors sujet. Aujourd’hui, Culture Sang et Or met à l’honneur les supporters du Racing Club de Lens au travers d’un photo-reportage réalisé par Edouard Solvet (@lephotographehdf sur Instagram) en marge de RC Lens – FC Séville. Partons à la découverte de ces nombreux visages qui rendent les tribunes de Bollaert si belles.

Mattéo, 19 ans.

« Mon lien avec le Racing ? C’est la famille, c’est le tonton qui m’a baptisé, et c’est que du plaisir ! »

Florian, 31 ans.

« Le Racing, c’est un lien familial depuis au moins trois générations. Mon grand-père était abonné, mon père aussi, et moi je suis abonné. Depuis que j’ai cinq ans, mon père m’emmène à Bollaert. Content d’être là, soir de Ligue des Champions, ça fait longtemps qu’on attendait ça, j’étais déjà là lors de la victoire contre le Milan AC mais j’étais gamin. Le match contre Arsenal, c’était déjà incroyable. On espère revoir la même chose ce soir et se qualifier en Europa League. Ce serait déjà une belle récompense. »

Florent, 30 ans.

« Je suis supporter depuis tout petit. Je suis du Pas-de-Calais, du coup pour moi c’était logique de supporter Lens. Quand on me demande pourquoi je supporte Lens et pas Lille, je n’ai pas de réponse, c’est naturel. Ma famille ne suit pas le foot. Je pense que c’est avec les copains, j’en avais pour Paris et Marseille, d’autres pour Lens. Et ça s’est fait naturellement. »

Pascal, 31 ans.

« Mon père est fan de Lens depuis qu’il est petit. Il regarde le Racing depuis les années 1970. Il a transmis la passion. J’ai été voir mon premier match avec lui juste après le titre, lors de la saison 1998-99. »

Syméon, 25 ans.

« Passionné du Racing depuis la naissance grâce à mon père et mon grand-père. J’ai commencé à aller en Marek à partir de mes 8 ans, et je n’ai jamais quitté la tribune. J’y suis abonné depuis cinq saisons. Actuellement, je suis abonné dans une superbe section qui s’appelle Lens Capitale. »

Raphaël, 22 ans.

« Le Racing ? C’est ma famille et c’est toute ma vie ! »

Kelim, 28 ans.

« Je suis né à Lens, mes parents sont nés à Lens. Mon père vient au stade depuis qu’il est ado. Donc forcément, j’ai grandi avec. Je perpétue la tradition de venir supporter Lens. Quand on vient d’ici, on a forcément ce club dans les veines et dans l’ADN. La première fois à Bollaert ? C’était avec des amis du collège, on avait reçu des places en invitation. »

Fabien, 36 ans.

« Mon lien avec le Racing ? Des heures à découper des articles de la Voix du Nord avec mon grand-père. Les matchs avec mon parrain. Moi, dans mon salon, à faire des bonds sur mon canapé le soir du titre. La passion relancée depuis la rencontre avec ma compagne Charlotte. »

Charlotte, 35 ans.

« Mon lien avec le Racing ? C’est mon père et ma famille. On est d’origine polonaise, mineurs, le RC Lens ça a toujours été le point d’ancrage de toute la famille. On organisait notre vie par rapport aux matchs de Lens. Mon premier match ? En 1999 contre le Monaco de Fabien Barthez, et depuis une passion pour ce club qui ne s’est jamais éteinte. »

Lorenzo, 21 ans.

« Je suis le Racing depuis tout petit grâce à mon père qui est lui aussi fan du Racing ! »

Franck, 46 ans.

« Je viens ici depuis que je suis tout jeune. Et aujourd’hui j’emmène mon fils qui a des origines brésiliennes pour son premier match à Bollaert. »

Eric, 60 ans.

« Mon lien avec le Racing ? Des souvenirs d’enfance, avec un ch’ti, tout simplement. »

Etienne, 27 ans.

« Mon père m’a fait découvrir le Racing il y a une quinzaine d’années, et on vient dès qu’on peut depuis la Picardie, près de Chantilly. »

Théophile, 20 ans.

« Mon lien avec le Racing ? C’est vraiment la famille, les deux côtés supportaient le RC Lens. Mes parents n’aimaient pas le foot, plutôt avec mes grands-parents, mes oncles et mon grand-frère. »

Fabien, 29 ans.

« Mon lien avec le Racing ? Être né à 500 mètres du stade Bollaert, tu ne peux pas aimer un autre club ! »

Théo, 18 ans.

« Mon lien avec le Racing ? La remontée avec Franck Haise, qui est le seul entraîneur que j’ai connu. »

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